Je me souviens parfaitement de ce soir de juin. Assise à mon piano, je révisais, sans grand entrain, un morceau de Poulenc, lorsque j’entendis le cliquetis du jeu de clés fraichement trouvé dans les méandres d’un sac de Marie Poppins, le léger grincement du verrou, le claquement de la porte d’entrée, et, dans mon dos,Lire la suite « La Mort vous va si bien »